Totalement en phase avec ce discours. Mais il est devenu inaudible, la crise économique actuelle étant imputée au capitalisme. Impossible d’en faire démordre un interlocuteur, persuadé de vivre dans le « capitalisme ultralibéral et mondialisé », alors qu’il vit une époque de dépense et de dette publiques inouïes en temps de paix. Et il ne s’en rend pas compte, puisque à ces dépenses ne correspondent pas les recettes adéquates. Le pain blanc avant le pain noir…
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